Santé et Bien-être

Le pollen est donc particulièrement efficace et utile pour aider l’organisme à booster sa vitalité. Il participe au bon fonctionnement de notre système immunitaire. Le pollen peut aussi être consommé pour favoriser le bon équilibre de la flore intestinale et réguler le transit.

Comme tous les produits issus de la ruche, le pollen cru se présente aujourd’hui comme un incontournable. Obtenu grâce au butinage des abeilles qui le stockent sur les corbeilles de leurs pattes arrière, l’apiculteur le ramasse lors de leur retour à la ruche. Un peigne percé de trous d’un diamètre faible et placé à l’entrée de la ruche, accroche les pelotes lors de l’entrée des butineuses. L’apiculteur n’est pas le seul à attendre avec impatience le retour des abeilles. Les nourrices de la ruche frétillent aussi, car grâce au pollen cru, elles nourrissent les larves.

Produit naturel issu du butinage des abeilles, le pollen cru contient des vitamines et des oligoéléments qui permettraient de reprendre du poil de la bête. Idéal au sortir de l’hiver, le pollen cru serait, au même titre que tous les produits issus de la ruche, un aliment extraordinaire ! En effet, cela fait des siècles que l’homme s’intéresse aux abeilles et à leur production et en ressentirait de multiples bénéfices.

Depuis des siècles, les hommes, mus par leur curiosité, consomment les produits de la ruche comme le pain d’abeilles, la gelée royale ou encore le miel qui, en plus d’être succulent, fait montre de vertus cicatrisantes extraordinaires !

Le miel étant le résultat de la récolte des abeilles butineuses, il peut changer de saveur en fonction des fleurs rencontrées par ces dernières. Ainsi, il n’existe pas une seule variété de miel, mais des nectars qui diffèrent en fonction du lieu où ils ont été récoltés et de la fleur dont ils proviennent.

Le miel en rayon est moins connu que le miel en pot, car il s’agit d’un produit brut et rare que l’on ne peut pas prélever systématiquement dans la ruche. Le miel en rayon sert en effet à nourrir les abeilles, l’apiculteur doit donc en laisser suffisamment à la colonie pour que celle-ci puisse survivre durant l’hiver.